| Article reproduit par Nanou avec l'aimable autorisation du journal Le Quotidien | ||
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       Le Quotidien de la Réunion du Mardi 27 juin 2006  | 
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      ENQUETE AUPRES DES 
      MEDECINS LIBERAUX | 
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| Avoir une photo nette du Chik | ||
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       En effet, le système d’estimation des cas, basé sur un réseau de 45 médecins sentinelles et quelques formules savantes, trouve ses limites lorsque l’épidémie se situe en deçà d’un certain niveau, explique-t-on à la Cire (Cellule inter-régionale d’épidémiologie) Réunion‑Mayotte. 
      «Actuellement le niveau de transmission du 
      chikungunya reste assez élevé, de l’ordre de 1.000 nouveaux cas estimés 
      chaque semaine (400 cas, selon les chiffres communiqués par la préfecture 
      vendredi dernier, Ndlr), et cela incite à avoir une photographie la plus 
      précise de la situation épidémiologique avant de basculer de nouveau, 
      durant l’hiver austral, sur un comptage exhaustif des cas (sur la base 
      d’un repérage actif dans l’entourage des cas signalés) », précisent Gilles 
      Brücker, directeur général de l’InVs, et Flore Thérond-Rivani, directrice 
      de la Drass, dans un courrier diffusé sur le site de l’Union régionale des 
      médecins libéraux de la Réunion.  Lutte anti-vectorielle pour chaque cas
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